La ville contemporaine dispose d’un territoire réglé par la logique du capital dérivé d’une “économie liquide”, qui fragmente la structure urbaine en multipliant les points névralgiques. La multipolarisation de cette zone urbaine caractérise une croissance discontinue dûe à une distribution inégale des investissements dans le secteur des transports, des services, des infrastructures et des “équipements de prestige”, obéissant aux tendances imprévisibles de la production et de la consommation du capital Mondial. La dialectique de la localisation/délocalisation est la base de toute structuration cohérente, ce qui exige de réviser les relations entre la ville, l’urbain et les espaces publics.
Jorge Mario Jáuregui |