La ciudad injusta (Desigualdad de inversiones) |
Consideraciones sobre el tema de la articulación socio-espacial |
française
1. El proyecto está siempre en “negociación dialéctica” (en discusión, en argumentación, en un proceso generado por oposiciones que se resuelven provisoriamente en conjuntos de unidades; procedimiento por unión-conexión incesante de contrarios (tesis-antítesis) y una nueva síntesis.
Implica la utilización de argumentos consistentes. El método dialéctico incluye lógica, base de referencia material, tiempo (momento) y silogismo (argumentación deductiva que, partiendo de premisas, por inercia (ilación) extrae conclusiones).
2. El asunto está siempre en tensión entre la tragedia (social) y el simulacro (político); entre la deuda política y el derecho social.
3. Presupone la relación Hábitat-Habitar.
Hábitat: lugar de vida, con el total de las características ecológicas del sitio habitado por una población.
Habitar: ocupar como residencia, residir, vivir. Hábito. “Residencia del ser”.
4. Existe la permanente “urgencia” del proyecto constreñido entre el tiempo (político), la demanda (social), los condicionantes económicos y técnicas y los pre-conceptos que operan en el ámbito de la profesión (o “disciplina”).
5. La tensión entre lo político (respuestas inmediatas), lo económico (reduccionismo de las soluciones), lo social (siempre dramático) y lo ideológico (lo que encubre el pensamiento).
6. En la habitación social hay una oposición de “tiempos”:
Político (inmediatismo de las respuestas)
Social (procesamiento lento de la formulación de las demandas)
Proyectual (tiempo necesario para la elaboración de respuestas de calidad)
De ejecución de las obras (tiempo técnico)
7. Hay en el campo de la habitación de interés social la necesidad de una gran variedad de oferta de alternativas de configuración de lay-outs, como respuesta a las infinitas e imprevisibles situaciones y condiciones de los habitantes, de los “usuarios”.
8. La necesidad de configuración mediante el proyecto, de un rico repertorio formal, espacial, funcional y ambiental.
Suscitar una presencia urbana consistente y variada
9. Urbanizar favelas o áreas informales implica, partiendo de la lectura de la estructura del lugar, de la “escucha” de las demandas y del cruzamiento interdisciplinario, forzar lo existente hasta conferirle un nuevo sentido.
10. El papel de la subjetividad: la intuición, ese principio de velocidad… el balance y la tensión entre el dato (objetivo) y la percepción, el “afecto” (subjetivo).
11. Uno de los desafíos del proyecto urbano de articulación socio-espacial es justamente permitir, posibilitar, y mostrar el camino para la conexión entre el centro y los barrios formales de un lado, y las favelas y suburbios del otro.
12. Interceptar la estética elaborada de la arquitectura, el urbanismo y el paisaje, pensados y proyectados (formalizados) con el saber popular y las formas y soluciones resultantes del acaso y la improvisación.
“En Brasil hay cables sueltos en un campo de posibilidades”… H. Oiticica
13. El proyecto arquitectónico-urbanístico como oportunidad para hacer conexiones, para “conexionar” y para provocar una “mobilización productiva del territorio” en la dirección de una “economía creativa”, clusters de innovación y producción.
La relación como el “paisaje” urbano con el resultado de la intersección entre condiciones bio-físicas y la acción humana en el territorio.
14. Deberá ser pensado el continuo construido-no construido como una unidad, junto con la relación masa verde-masa construida y los espacios de proximidad, al mismo tiempo que la planta baja viva, conectiva, productiva y activa; lugar de encuentros y transiciones.
Diferentes escalas y tipos de vegetación: técnicas simples.
Lo real y lo simbólico del proyecto.
Evitar la dispersión urbanística e integrar lo existente al nuevo contexto.
15. Articular casa, ciudad, mundo en este contexto implica ofrecer (el urdume) la urdimbre; es una cuestión de tapicería, donde cada uno tiene que tejer su subjetividad, hacer su conexión. Implica también una reflexión constante, siempre “actualizada”.
16. El tema de la habitación de interés social, en tanto que patrimonio cultural, en el proyecto de intervención a través de los programas Favela-Bairro, PAC-UAP y Morar Carioca, permitió desarrollar una rica experiencia socio-espacial en comunidades de diferente configuración urbana y diversas escalas de intervención.
Considérations sur la question de l'articulation socio-spatiale
1. Le projet est toujours en « négociation dialectique : en discution, en l'argumentation, dans un procédé généré par oppositions qui se résout temporairement dans des ensembles d'unités; procédant par liaison-union continue d'oppositions (thèse-antithèse) et une nouvelle synthèse.
Elle implique l'utilisation d'arguments cohérents. La méthode dialectique utilise la logique, la base de référence matériel, le temps (en heure) et syllogisme (raisonnement déductif qui, partant de présuppositions, par inertie (ilación) extrait des conclusions).
2. La question est toujours en tension entre la tragédie (sociale) et le simulacre (politique); entre la dette politique et le droit social.
3. Comprendre la relation Habitat-Habiter.
Habitat: lieu de vie, avec la totalité des caractéristiques écologiques du site habité par une population.
Habiter: occuper comme résidence, y résider, vivre. Habitude. «résidence de l'être humain».
4. Il y a une urgence permanente du projet contraint par le délai (politique), les demandes (sociales), le conditionnement économiques et techniques ainsi que les pré-concepts agissant dans le milieu de la profession (ou « discipline »).
5. La tension entre la politique (réponse immédiate), économiques (réductionnisme des solutions), sociale (toujours dramatique) et l'idéologie (qui couvre la pensée).
6. Au sein del'habitation sociale, il y a une opposition de « temps »:
Politique (immédiatisme des réponses)
Social (traitement lent de la formulation des demandes)
Projectuelle (temps nécessaire pour l'élaboration de réponses de qualité)
D'éxécution des travaux (temps de réalisation)
7. Il y a dans le domaine de l'habitat d'intérêt social la nécessité d'une grande variété d'offre de configuration d'alternatives de lay-outs, comme réponse aux infinités de situations prévisibles et imprévisibles et aux conditions des habitants, des "utilisateurs".
8. La nécessité de configuration au moyen du projet, d'un riche répertoire formel, spatial, fonctionnel et environnemental
Susciter une présence urbaine consistante et variée
9. Urbaniser des favelas ou des les banlieues, en partant de la lecture de la structure du lieu, de l' "écoute" des demandes de la population et du croisement interdisciplinaire, forcer l'éxistant jusqu'à lui attribuer un nouveau sens.
10. Le rôle de la subjectivité: l'intuition, ses principe de vélocité ... d'équilibre et de mise en tension entre les données (objectif) et la perception, l' « affection » (subjective).
11. L'un des défis du projet urbain d'articulation socio-spatiale est précisément de permettre, de rendre possible et de montrer le chemin permettant les connexions entre le centre-ville et les quartiers aisés d'un côté et les favelas et banlieues de l'autre.
12. Intercepter l'esthétique élaborée de l'architecture, l'urbanisme et du paysage, conçu et projectualisé (formalisé) avec les connaissances populaires et des moyens et des solutions résultant du hasard et de l'improvisation.
“En Brasil hay cables sueltos en un campo de posibilidades”… Helio Oiticica
Au Brésil, il y a des fils en vrac dans un champ de possibilités
13. Le projet architectural et urbain comme une oportunité d'établir des liens, de « connecter » et de provoquer une « mobilisation productive du territoire » dans le sens d'une «économie créatrice », d'un pôle d'innovation et de production.
La relation du « paysage » urbain avec le résultat de l'intersection entre les conditions bio-physique et l'action humaine sur le territoire.
14. Il devra être pensé la continuité du construit non-construit comme une unité, conjointement avec la relation volume vert volume construit et les espaces de proximités, en même temps que le rez de chaussé vit, se conecte, produit et s'active; un lieu de rencontres et de transitions
Différentes échelles et types de végétation : des techniques simples.
Le réel et le symbolique et l'imaginaire du projet.
Éviter la dispersion urbaine et intégrer l'existant au nouveau contexte.
15. Articuler la maison, la cité, le monde dans ce contexte signifie offrir ( el urdume) la urdimbre; c'était une question de tapisserie, où chaqun doit tisser sa subjectivité, faire sa connexion. Elle implique également une réflexion constante, toujours « mis à jour ».
16. Le thème de l'habitation d'intérêt sociale, comme le patrimoine culturel dans le projet d'intervention au travers des programmes Favela-Bairro, PAC-UAP et Morar Carioca, a permis de développer une riche expérience socio-spatiale dans des communautés de différente configuration urbaine et a différentes échelles d'intervention.
Jorge Mario Jáuregui
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